Quels sont les différents types de contraception naturelle ?

Le stérilet, la pilule, l’implant ainsi que les autres méthodes de contraception ne sont pas sans effet secondaire. Elles présentent toutes des contre-indications. Dans ces conditions, certains couples décident d’opter pour une contraception naturelle. Pourquoi opter pour la contraception naturelle ? Quelles sont les différentes méthodes de contraception naturelle ?

Pourquoi opter pour la contraception naturelle ? 

La contraception naturelle est une méthode qui consiste à éviter les rapports sexuels en période d’ovulation. La première raison de nombreux couples est l’économie. En optant pour la contraception naturelle, plus de dépenses à faire dans l’achat des pilules la pose de stérilet ou du DIU. 

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Une autre raison concerne l’absence de produits chimiques dans le corps. On note aussi la diminution des risques liés à la prise de contraceptifs hormonaux comme la thrombose veineuse, les cancers, etc. 

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Certes, cette méthode contraceptive est meilleure pour un fonctionnement normal de l’organisme féminin. Cependant, elle n’est pas si efficace. Voilà afficher les différentes méthodes de contraception naturelles et leur taux d’échec !

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Les méthodes de contraception naturelle les plus connues 

Toutes les différentes méthodes de contraception naturelle ont en commun l’identification de la période d’ovulation afin de l’éviter. Pendant cette période, le couple ayant opté pour cette méthode s’abstient d’aller au sexe. Voilà les méthodes les mieux connues :

Le retrait 

Encore appelée coït interrompu, il consiste à ce que l’homme se retire avant l’éjaculation. Très difficile à faire, elle est peu fiable. Car les spermatozoïdes peuvent se glisser sur la paroi vaginale. Cette démarche présente 22 % de taux d’échec.

La symptothermie 

Cette méthode consiste à vérifier la température corporelle de la femme afin de savoir comment elle varie. En effet, suite à l’ovulation, la sécrétion de progestérone provoque une élévation de la température. 

Cela permet alors de savoir que la femme est en période d’ovulation afin d’éviter les rapports sexuels. Pour appliquer cette méthode, la température corporelle de la femme doit être prise chaque matin au réveil. Le taux d’échec de cette méthode est de 20 % pour un usage réel.

La méthode Ogino-Kaus 

Cette méthode est spécialement basée sur le cycle ovulatoire de la femme. Elle consiste à tenir un calendrier du cycle d’ovulation de cette dernière. Cela permettra de calculer la période d’ovulation de la femme pour chaque mois en se référant aux mois précédents. Toutefois, plusieurs variables entrent en jeu avec cette méthode, elle n’est donc pas très fiable.

La méthode Billings

Cette méthode consiste principalement à l’observation de la glaire cervicale. Pour ce faire, la femme prélève avec ses doigts ses pertes blanches pour déterminer si elle ovule ou pas. Les pertes peuvent être très collantes ou moins collantes. En fonction de cela, elle peut conclure si la glaire cervicale est dense ou non. Le taux d’échec va de 1 % pour un usage parfait à 23 % pour un usage réel. 

Ces différentes méthodes reposent notamment sur l’écoute du corps féminin. Pour conclure, plusieurs options sont disponibles en termes de contraception naturelle. Le choix en devient donc beaucoup plus aisé.

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